3 situations (mécanismes) que j'ai répétées sans cesse pendant des années (et que je croyais être le sort qui s'acharnait) :
1) Les situations de blocage
A chaque élan, je faisais toujours face à quelque chose qui venait subitement me bloquer, m'empêcher de commencer : les remarques, les blessures physiques, les tétanies, les frais supplémentaires, les problèmes techniques improbables...
J'ai hurlé un milliard de fois "mais bordel pourquoi ce n'est jamais fluide avec moi !"
Autant dans l'expression de mes sentiments, les départs en excursion, les recherches d'appartement, la création de site internet, et mille autres contextes différents, ça finissait juste : bloqué.
2) Les situations d'inachevé
A chaque fois que je réussissais à commencer quelque chose, je faisais toujours face à l'impossibilité d'aller au bout, à une disparition qui m'empêchait de continuer : les refus, l'oublie, la flemme, les séparations, les déménagements, les trahisons...
J'ai hurlé mille fois "mais bordel pourquoi ça ne dure jamais avec moi !"
Autant dans les relations que dans les candidatures, les études, les loisirs, les professions, ça finissait juste : inachevé.
3) Les situations d'indépendance
A chaque fois que je réussissais à me lancer, je faisais toujours face à des choses improbables, que personne ne connaissait, qui m'obligeaient à me débrouiller seule et donc la gestion m'empêcher de performer : des bugs jamais vus, des questions jamais entendues, des problèmes jamais résolus, des réflexions méconnus...
J'ai hurlé mille fois "mais bordel pourquoi je n'ai jamais personne qui sait m'aider moi !"
Autant dans mes études que dans mes questionnements, mes relations, ma création d'entreprise, ça finissait toujours par l'impossibilité d'être guidée.
En réalité, ces situations n'étaient rien d'autres que mes propres mécanismes de protection.
Me retrouver bloquée me protégeait de la nouveauté, de l'audace, du changement et donc des critiques, du rejet. Mais m'éloignait de la créativité.
Ne pas faire durer me protégeait de la responsabilité, de l'effort, de la régularité et donc de la perte de flexibilité, de l'authenticité. Mais m'éloignait de la stabilité.
Devoir faire seule me protégeait des ordres, de la pression, du parfait et donc du raté, de l'incapacité. Mais m'éloignait du fait d'être accompagnée.
En réalité, ces mécanismes peuvent tous être regroupés sous une seule croyance bien intégrée : la fameuse "Je ne suis pas à la hauteur". La croyance d'être une bonne à rien, une mauvaise fille, une inadaptée. Une croyance et surtout une peur, totalement reliée à ce que j'appelle un danger-écho. Une situation que mon corps a considéré comme étant beaucoup trop dangereuse pour ma survie, mon intégrité. Et qui a mis tous les comportements en son pouvoir pour que ça ne se reproduise ô grand jamais. (Mais donc ça m'a aussi éloigné de ce qui aurait pu être chouette dans des situations moins dangereuses)
Mais alors comment je m'en suis sortie ?
Simplement, en faisant un pas de côté. Le premier pas qui sort du blocage et de son cercle vicieux. Le premier pas en dehors de la cage, le premier pas pour enfin être soi. Ce, avec mon outil le plus simple : l'observation. Je suis venue observer les réactions et actions que j'avais à chaque fois face à ces situations. Puis j'ai décrypté le danger sous-jacent, la croyance intégrée. Et enfin je l'ai accueillie, pleinement ressentie, je l'ai faite circuler, se libérer et puis transmuter avec des alternatifs.
Alors si toi aussi tu fais face à ça, ces répétitions incessantes, ces blocages qui ne font que revenir, je t'offre une consultation découverte gratuite juste ici pour t'initier à ce premier pas ! Pour simplement t'accueillir, te décrypter, transmuter et ne plus jamais voir tes schémas répétés ! 💚
Avec amour, toujours,
Pauline.
07.08.2024
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